Jusqu’à un passé encore récent, le modèle quasi unique de #formation était le stage. Un manque de compétence, une mise à jour de connaissances, et hop ! vous en preniez pour un jour, deux jours, voire une semaine de stage.
Les thuriféraires du #E-Learning, ont pensé, à tort, pouvoir se débarrasser du sempiternel stage en multipliant les investissements dans les plateformes et les solutions technologiques les plus modernes (mobile learning, serious games, …). En fait, le succès de cette logique du « tout #digital » tarde à apparaître. Tout simplement parce qu’elle repose sur le « mythe du bon apprenant ». Dans l’imaginaire des apôtres du E-Learning, tout collaborateur chercherait à apprendre naturellement grâce aux outils à sa disposition sur son bureau ou encore mieux dans sa poche. Il suffirait pour ce faire de « gamifier » ou de créer des produits aux « effets Waouh ! » pour y parvenir.

Evidemment, la réalité est toute autre. Se former nécessite un projet, d’être accompagné et de s’inscrire dans une dynamique collective. C’est pour ces raisons que la FEST ou Formation En Situation de Travail associée au est loin d’être dénuée de sens, à condition de prendre en compte trois points de vigilance majeurs.

  1. Renforcer le dialogue managérial autour de la formation
  2. Bâtir des bibliothèques de contenus pédagogiques digitalisés riches et de qualité
  3. Former aux techniques d’ en situation de travail et à la guidance pédagogique

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