Défendre, critiquer, soutenir ou décrier le compte personnel de formation (CPF), le sport est à la mode dans l’écosystème RH et même au delà. Ce nouveau crédit individuel d’heures pour se former, sans l’autorisation de son employeur ou de Pôle emploi, déchaîne les passions. Avec cette infographie signée Demos, le leader européen de la formation professionnelle, et Parlons RH, l’agence digitale de la fonction RH, essayons de prendre de la hauteur… Quitte à changer de lunettes !

Pour les uns, le compte personnel de #formation () est un dispostif bien compliqué : pas assez de formations éligibles, paperasserie sans fin, temps perdu à démêler le vrai du faux et recherche alambiquée des codes CPF sur le site www.moncompteformation.gouv.fr.
Pour les autres, l’opportunité de prendre à bras le corps son développement de compétences est une avancée notoire. Et impliquer, mais uniquement si on le souhaite son entreprise ou Pôle emploi, ouvre la voie à des projets réellement gagnant-gagnant. L’infographie préparée par Demos, le leader européen de la formation professionnelle et Parlons RH, l’agence digitale de la fonction RH, pose les chiffres sur la table.

10 formations financées en janvier, 45 000 en décembre

S’ils n’ont été qu’une poignée de demandeurs d’emploi et de salariés à sauter dans le train du CPF en janvier et février 2015, ce sont 45 000 formations qui ont été financées en novembre dernier par ce biais. Soit désormais autant de départs en formation grâce au CPF que la moyenne mensuelle relevée pour le DIF (droit individuel à la formation) en 2013.

Demos et Parlons RH proposent une infographie sur le CPF

Crédit photo : © Demos

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