En effet, souvenons-nous : à cette date, beaucoup de commentateurs n’hésitaient pas à parler de la plus importante réforme qu’ait connue le champ de la Formation Professionnelle depuis 1971. Et ce ne sont pas les nombreux mois qui ont suivi la promulgation de cette Loi, au cours desquels chacun attendait fiévreusement la parution des décrets pour en savoir plus et/ou pour être conforté dans les choix qu’il allait devoir faire, qui nous ont rendu forcément plus sereins.
Bref, nous nous attendions à vivre une année 2015 bien différente des précédentes, avec cette part d’inconnu qui nous poussa facilement à parler alors d’année de transition.
Comment a été abordée une telle année dite de transition ?
La fin du DIF signifiait donc un changement radical dans l’approche à adopter vis-à-vis de cette démarche. Ainsi, plutôt que de générer une frustration importante à continuer dans cette voie mais sans pouvoir répondre aux besoins exprimés, faute de financement adéquat, nous avons opté pour expliquer en quoi cette année 2015 serait vraiment une année de transition.
Comment ont été abordés les nouveaux dispositifs (CPF, entretiens professionnels…) au début de l’année 2015 ?
La posture adoptée en tant que Responsable Formation a tout de suite été celle d’être accompagnateur des collaborateurs de mon entreprise pour faire en sorte que ce nouveau dispositif ne soit pas un échec fracassant, avant même d’avoir été « apprivoisé »…
Lorsque la Loi du 5 mars 2014 portant #réforme de la Formation a été votée, une longue période d’incertitude s’est ouverte pour la plupart des acteurs du champ de la #formation professionnelle en France, et particulièrement pour les Responsables Formation en entreprise.