Selon Médiamétrie, la France comptait 40,24 millions d’internautes en janvier 2012. Parmi les principaux services Internet utilisés en Europe, on note que 75 % des utilisateurs consultent principalement les annuaires et les encyclopédies et 67 % l’actualité et les informations. Ces chiffres sont symptomatiques de la visée première d’internet, à savoir le partage de l’information et de la connaissance.

Le sigle mooc apparaît en 2008 pour désigner un cours suivi en ligne sur internet de n’importe où dans le monde : MOOC signifie « Massive Open Online Course ». Un Mooc est à l’#éducation ce qu’un jeu massivement parallèle est à l’univers des jeux vidéos.Le principe d’un MOOC est proche de la formation par correspondance ou de l’#e-learning, mais la révolution et le buzz vient du concept d’ouverture : aucune barrière de compétence ou de frais d’inscription ne sont demandés aux participants.

La révolution du partage et de la conso collaborative ne concerne pas que les machines à laver, les voitures ou les livres ! Loin de là. Tout doucement, cette mentalité basée sur l’ouverture et la coopération gagne bien des secteurs dont, pas le moindre, l’éducation. Avec l’irruption des MOOCs, ces cours en libre accès dans le monde entier, les meilleures écoles du monde se mettent au diapason du partage et font leur révolution

Il suffit de remonter un peu en arrière pour constater qu’il s’agit bel et bien d’un retour aux sources. En effet, l’histoire d’internet est étroitement liée avec une volonté croissante de développer les premiers réseaux de télécommunication.

L’idée : un réseau informatique, qui permettrait aux utilisateurs de différents ordinateurs de communiquer et de partager des informations. Car si la naissance d’Internet est souvent attribuée, de façon mythique aux armées américaines, l’#outil internet a d’abord été développé par des universitaires, pour des universitaires.

 

 

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