La génération Y a la trentaine, passe son temps sur son iPhone, est connectée à Facebook toute la journée, ne veut pas qu’on lui donne d’ordres et veut apprendre de façon rapide. Le trait est forcé, et pourtant ces clichés persistent autour de cette génération, surtout au sein des entreprises. Pourtant, la génération Y, qui comprend les personnes nées entre 1980 et 2000, ne semble pas si différente des précédentes. Encore faut-il essayer de comprendre les individus qui la composent.

La génération Y a la trentaine, passe son temps sur son iPhone, est connectée à Facebook toute la journée, ne veut pas qu’on lui donne d’ordres et veut apprendre de façon rapide. Le trait est forcé, et pourtant ces clichés persistent autour de cette génération, surtout au sein des entreprises. Pourtant, la génération Y, qui comprend les personnes nées entre 1980 et 2000, ne semble pas si différente des précédentes. Encore faut-il essayer de comprendre les individus qui la composent.

Le savoir-être comme moteur

Savoir ce que veut son employé, qui il est vraiment, ce dont il a besoin, est le point de départ d’une bonne collaboration. Il faut aussi prendre en compte que chaque salarié est unique. Chacun a des envies, des valeurs, des aptitudes propres. Pour bien connaître ses employés, il faut d’abord s’intéresser qui ils sont vraiment, ce qui les motivent

Fidéliser les salariés

La #formation est l’un des meilleurs moyens de donner envie aux employés de rester dans l’entreprise. Encore faut-il proposer des formations qui seront en accord avec les envies de ces membres de la génération Y. Il semble incohérent de proposer une formation complémentaire, à un salarié, qui n’est pas en accord avec ses attentes personnelles

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