L’#adaptive learning, ou #apprentissage adaptatif, fait partie des derniers « trendy words » dans l’univers du #digital learning. Alors, …nouvel écran de fumée ou réelle tendance d’avenir ? En tout cas, l’enjeu est réellement important en termes d’apprentissage.

Doper les apprentissages ?

Alors, quand l’adaptive learning nous fait la promesse d’un parcours de #formation totalement personnalisé, idéalement établi en fonction de notre profil et des données que nous générons, on se prend à rêver.

Les acteurs historiques sont plutôt des américains (Didask, Knewton) et les acteurs français sont encore peu nombreux. En matière d’Adaptive Learning, on peut d’ailleurs observer différents modèles :

  • Soit on crée de toute pièce un ensemble de ressources pédagogiques pertinentes et on fait tourner l’algorithme dessus (c’est ce qu’ont fait jusqu’à présent par exemple Gymglish ou Woonoz),
  • Soit on part d’un ensemble de ressources pédagogiques pré-existantes, qu’il faut alors soigneusement cartographier façon knowledge management avant de pouvoir faire tourner l’algorithme dessus (c’est ce que propose par exemple Domoscio).

Mais attention, l’idée clé n’est pas uniquement de travailler sur les contenus qu’on met à disposition, mais bien sur l’expérience utilisateur que l’on veut proposer à l’apprenant.

Un avenir prometteur
Il y a fort à parier que les acteurs de l’adaptive learning qui tireront leur épingle du jeu travailleront sur ces 4 axes, car les apports des neuro-sciences nous le confirment : un contenu plaisant et ciblé, présenté à la bonne fréquence et sur des durées courtes a toutes les chances d’atteindre ses objectifs en termes d’apprentissage.

 

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