L’UX a désormais pris une place prépondérante dans le monde #digital et dans tous les projets de site web ou d’application. On n’imagine plus de nos jours concevoir une application sans l’intervention d’un UX ou d’un UI designer ou sans réaliser des tests utilisateurs. Ce qui semblait inutile ou superflu il y a 5 ans est en 2017 devenu incontournable et les entreprises n’ayant pas intégré les nouvelles démarches de conception en vogue dans la Sillicon Valley passent pour de doux dinosaures pas loin de l’extinction.

Le Design Thinking est le graal de l’évolution digitale

Terme encore inconnu il y a 2 ans, le #Design Thinking a fait sa révolution. Il est impossible de ne pas en parler et de parler de sa richesse idéative, de sa capacité à challenger les équipes et à produire des produits faits pour les utilisateurs.

L’agilité au coeur de l’UX

L’UX est de plus en plus embarqué dans les méthodes agiles. L’itération, les allers et retours en avant ou en arrière, le droit de se tromper, sont des ingrédients importants que l’agilité peut compenser par sa capacité à corriger rapidement le tir. L’âge des grosses refontes et des tunnels de production longs est en train de s’effacer au profit de modes de développement rapides dans lesquels les apports de l’UX, à la fois en termes de mentalité et de productivité, sont essentiels.

Des interfaces légères comme des plumes

Quand j’ai commencé à travailler dans le Web à la fin des années 1990, la légèreté des pages était une obsession. La vitesse des connexions internet ne permettait aucune folie, aucune créativité, il fallait faire efficace. Mais depuis l’apparition de l’ADSL, puis de la 3G sur les téléphones, ce principe semble avoir été oublié. Alors qu’il devrait encore être une préoccupation majeure des concepteurs de page ou d’application. Il faut garder en tête qu’au delà de 3 secondes de temps d’affichage, plus de 50% des utilisateurs abandonnent leur navigation.

L’émergence des interfaces vocales

Les nouvelles interfaces homme machine n’apparaissent pas si souvent que ça. Dans les années 80, Apple, avec son McIntosh imposait les fenêtres et la souris. Puis ce fut, en 2006, l’apparition de l’iPhone, toujours d’Apple, qui créa une nouvelle génération d’interfaces. En 2015, ce sont les interfaces vocales qui ont fait leur apparition. Et avec l’appui de l’intelligence artificielle et du big data, il y a de fortes chances pour qu’elles s’imposent, en partie, dans nos relations avec les machines.

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