Si le jeu Fortnite s’est forgé une place mondiale de choix entre le hardcore gaming et le casual gaming, c’est en partie parce que l’UX design a été peaufiné. Le travail de Celia Hodent a payé dans le succès planétaire du jeu. Comment identifie-t-on, personnalise-t-on, et fluidifie-t-on le parcours du joueur ?

Ce que nous retenons des échanges :

  • La perception du joueur est subjective, sa mémoire faillible et son attention limitée.
  • Les équipes UX travaillent donc deux points essentiels : l’”utilisabilité” (ergonomie, effets sonores et visuels compréhensibles) et l’”engageabilité” (immersion, émotions, motivation, game feel).
  • Des éléments du jeu (“OnBoarding” rendant compétent, mécanismes d’identification, challenges…) peuvent être utilisés dans d’autres secteurs.

Chacun son cerveau…

Le modèle mental du produit conçu doit être aligné sur ce que l’utilisateur final va comprendre du jeu, ce qui n’est pas forcément une mince affaire. Il importe de faire preuve de psychologie et méthode, de définir l’expérience, de comprendre l’audience pour organiser au mieux les interactions du joueur avec l’image du système.

Repéré depuis https://www.zdnet.fr/blogs/social-media-club/game-ux-et-neurosciences-quels-enseignements-pour-le-design-d-interaction-et-l-experience-utilisateur-39874467.htm

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