L’accélération des cycles économiques et technologiques, les contraintes de coûts, les exigences de résultats, rendent indispensables la prise en compte des situations de dans la conception des formations. Dans un billet précédent, nous évoquions le « modèle 70-20-10 » : non pas une proportion « gravée dans le marbre » et prouvée scientifiquement, mais une invitation à considérer la nature forcément systémique des apprentissages, à prendre en considération l’ensemble des éléments entrant dans l’alchimie qui permet d’aboutir au développement des compétences.
Le mémoire de la DGEFP synthétise ainsi les les dimensions « de nature à construire et structurer un environnement de travail apprenant » :
  • Qualité des interactions sociales (, collectif inclusif, pratiques de collaboration et d’entraide …)
  • Progressivité dans la complexité des tâches confiées, possibilités de polariser ponctuellement sur une activité particulière,
  • Confrontation à des incidents, des problèmes à résoudre qui (…) obligent à « faire autrement »
  • Management participatif et délibératif (…)
  • Suspension provisoire des exigences productives
  • Perception de signes tangibles de reconnaissances des nouvelles acquisitions (…) »
Plus que de sélectionner la solution qui emporte le maximum de points, l’idée est de faire fonctionner cette grille comme un d’aide à la décision.
Dans le contexte managérial et organisationnel de l’entreprise, vu le type de public et d’objectifs, quels sont les leviers à actionner le plus fortement ?
Comment en mobiliser le plus possibles, même à des degrés divers ? Et surtout, comment les intégrer de manière fluide et cohérente

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