En France le télétravail progresse, avec un taux de 16 à 20% en 2017 [1]. Pourtant, de nombreuses entreprises redoutent son impact négatif sur la gestion du temps ou la cohésion des équipes. Alors, ce nouveau mode d’organisation du travail nécessite-t-il des adaptations spécifiques en termes de management ou de relations entre collaborateurs ? docendi met en lumière le rôle décisif de certaines des compétences soft skills dans le cadre du télétravail.

POINT N°1 : COMPENSER LES TROIS TYPES DE DISTANCES GÉNÉRÉS PAR LE TÉLÉTRAVAIL

Selon une infographie de Maddyness et NexityLab [2], 66 % des collaborateurs souhaitent bénéficier du télétravail. Dans le même temps, les entreprises tendent de plus en plus vers une flexibilité de leurs espaces de travail – via le télétravail et le coworking – pour améliorer la qualité de vie au travail [3] mais aussi, parfois, l’équilibre financier des structures.

POINT N°2 : OPTIMISER L’ESPACE DE TRAVAIL ET LA GESTION DU TEMPS

L’environnement de travail est l’une des principales préoccupations des entreprises. Lieux de convivialité ou de repos, d’échanges ou de concentration, il se décline pour favoriser le travail collaboratif, la créativité, etc.

POINT N°3 : LA COMMUNICATION COMME PIVOT DU TÉLÉTRAVAIL

Avec la distance, la communication revêt une importance cruciale. Or, si son impact est maximal en face-à-face, il diminue de 55 % au téléphone et n’est plus que de 7 % par mail ! Sans compter les déperditions de sens qui se multiplient entre le message initial et le message final, quel que soit le contexte dans lequel la communication se déroule

POINT N°4 : APPRENDRE À COLLABORER À DISTANCE

En matière de télétravail comme dans tout mode d’organisation, il s’agit de trouver le bon tempo.

POINT N°5 : RENFORCER LA CONFIANCE ET STIMULER LA MOTIVATION

En situation de télétravail, un contrat de confiance unit le télétravailleur, le manager et l’équipe

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