Le 17 janvier dernier, l’organisme de #formation docendi a proposé un webinar consacré aux soft skills. Directrice pédagogique et développement, j’ai répondu aux questions des professionnels RH sur la nature des compétences socio-émotionnelles, leur rôle dans l’entreprise à l’ère digitale et la manière de les développer. Avec, à la clé, 800 inscrits [1] et un record absolu de participation pour ce type de rendez-vous !
Au-delà de « l’addition de savoirs, savoir-faire et savoir-être », Guy Le Boterf [2], Directeur de Le Boterf Conseil, développe une approche intéressante de la compétence professionnelle.
- Il s’agit d’une capacité d’action qui s’exerce de façon dynamique, en situation de travail.
- Ce savoir-agir et interagir combine « des ressources internes (connaissances, habiletés, capacités cognitives, savoir-faire relationnels et méthodologiques, ressources émotionnelles…) et externes (savoirs capitalisés, logiciels…)» pour atteindre des objectifs.
- Elle dépasse la notion de qualification.
- Prenons l’exemple de l’empathie, que l’on peut considérer comme une qualité « naturelle ». Pour la développer, l’acquisition de connaissances sur le fonctionnement du cerveau et le rôle des neurones-miroirs – qui permettent l’empathie – est intéressante. Va-t-on pour autant en faire preuve en situation professionnelle ? Progresser et développer savoir-faire et savoir-être nécessite la mise en oeuvre d’actions comme :
- L’identification des blocages éventuels dans les situations professionnelles ;
- L’entraînement, avec des méthodologies simples (sur le questionnement et la reformulation par exemple).
C’est ce que l’on propose par exemple dans la formation docendi Écoute et empathie.
Prochainement, le second volet de Tout savoir sur les soft skills ! Avec nos réponses aux questions : quel est le lien entre culture d’entreprise et soft skills ? Comment constituer un référentiel de soft skills pour les entreprises ? Quelles stratégies pédagogiques mettre en œuvre pour les développer ? Entre autres.