Quatre conseils pour rendre le micro-learning efficace

Le concept de micro-learning a le vent en poupe dans les entreprises puisqu’il contribue à soutenir et ancrer les savoirs de façon séquencée. Mais pour bien le mobiliser en vue d’une acquisition de compétences opérationnelles, encore faut-il que certains « ingrédients » soient au rendez-vous.

1. Miser sur le smartphone

Parce qu’il est devenu le « prolongement des mains », il est impossible de déployer le micro-learning en faisant l’impasse sur le smartphone. En effet, la formation accessible partout et tout le temps est désormais la plus adaptée puisqu’elle est « à même de se glisser dans lesmicro-plages horaires des agendas surchargés », explique le cabinet de conseil ILDI dans un dossier intitulé « Micro-formation, micro-action, mobile-learning : la formation au bout des doigts ».

2. Pratiquer le « micro-doing »

Si la micro-formation propose des ressources pédagogiques de quelques minutes pour une montée en compétences très ciblée, on assiste depuis années à la conception de parcours de micro-actions (micro-doing). Elles visent l’acquisition de réflexes et de bonnes pratiques opérationnelles pour un passage à l’action séquencé, progressif et ancré dans la durée.

3. Ne pas confondre « court » et « réchauffé »

« Dans le contenu d’un parcours de micro-learning, de micro-action ou d’un parcours de plusieurs capsules, les objectifs vont devoir être redéfinis capsule par capsule, qu’il s’agisse d’objectifs pédagogiques ou d’objectifs de formation », souligne IDLI.

4. Faire cohabiter plusieurs méthodes de formation

Pour maximiser l’efficacité de la formation, il faut donner une spécificité à chaque modalité courte ou plus longue. Cela revient à imaginer des parcours séquencés dans lesquels le micro-learning peut s’articuler avec d’autres modalités de formation.

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