…mais elle a un coût.

Le renouvellement des salles de #formation s’accélère. Ces salles connectées, ces laboratoires, ces lieux de co-working, ces incubateurs en tout genre font appel à des tendances de domestication des espaces. Puisqu’il convient d’être « the best place to work », de lâcher prise, d’être « cool » pour développer de la créativité, alors, pourquoi ne pas créer le même type de repères qu’à la maison ?

Ces besoins sont notamment les suivants :

  • se connecter aux bases de données extérieures,s
  • se rencontrer au-delà du seul échange du patronyme, du grade et de la fonction,
  • expérimenter de nouvelles façons d’entrer en relation et d’interagir,
  • rechercher en groupe des informations,
  • construire des savoirs plutôt que de les recevoir,
  • faire œuvre de plus de créativité,
  • prototyper des services, des processus, des objets nouveaux,
  • exposer des travaux de sous-groupes.

Entre les matériaux standards répertoriés par des centrales d’achats (par exemple l’UGAP pour les établissements publics en France), aux prestataires privés de mobilier cherchant à être à la pointe de l’innovation type SteelCase, une immense gamme de possibilité est ouverte. Au final l’addition peut s’avérer salée.

On le voit il ne suffit pas de rejeter des salles rectangulaires sommairement équipées et d’acclamer les nouveaux espaces, il faut se retrousser les manches pour traiter chaque problème technique et s’assurer que les choix réalisés apportent un plus à la #pédagogie soutenue.

 

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