Si aux États-Unis on a coutume de dire « si vous ne payez pas le produit, c’est que vous êtes le produit », en France le problème semble être différent : nous ne payons guère les services que nous consommons (#éducation, #formation, transports collectifs, santé et logement) et, de ce seul fait, nous les dévalorisons (car ils ont un coût, donc un prix).

L’éducation et la formation peuvent être un commerce.

Dans un monde à la fois ouvert, libre et apprenant, c’est bien par la vente de ses services (et de ses produits) que les Français pourront assurer leur avenir économique et social, loin de modèles étatiques ou planificateurs de la société industrielle.

La formation des adultes a un coût que personne ne pense devoir assumer.

Le capital humain, la culture et #l’éducation sont devenues stratégiques, principales richesses d’un individu et des organisations telles que les nations. Mais pour les développer, il faut investir (pas seulement dans l’école).

Contrairement à ce que prétendent certains (qui « militent » pour un monde à l’arrêt et fermé), l’intelligence humaine ne peut se déployer que dans l’évolution, l’adaptation, l’échange et la confrontation (des concepts, des doctrines, des produits et des services commerciaux).

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