Un thème qu’abordent beaucoup d’articles récents, également sujet de l’une de nos tables rondes de la Journée Innovations pédagogiques du 27 mai à GEM et de notre récent Comité de programmes. Autant d’arguments pour se demander ce que sont ces nouvelles #compétences. Comment les enseigner sans oublier les « anciennes » ? Comment sensibiliser les étudiants au fil de leur cursus scolaire ? Et pas seulement dans le supérieur, condition de réussite d’une bonne adaptation au monde de demain.
 Les prévisionnistes affirment qu’elles seront plus importantes que les compétences dites techniques. On peut les lister de manière globale :

  • CompĂ©tences liĂ©es aux rĂ©fĂ©rentiels des systèmes coopĂ©ratifs,
  • CompĂ©tences liĂ©es Ă  la communication (prise de parole en public, savoir « se vendre », argumenter, rĂ©diger des notes, crĂ©er un PowerPoint, un clip vidĂ©o, etc),
  • CompĂ©tences digitales, technologies de l’information qui vont – pour moi – jusqu’à la maitrise de l’e-rĂ©putation,
  • CompĂ©tences transversales liĂ©es Ă  la gestion du stress et l’interculturel,
  • CompĂ©tences liĂ©es Ă  la crĂ©ativitĂ©, la pensĂ©e critique, la productivitĂ©, au problem solving, Ă  la gestion de projets de qualitĂ©.

Les compétences du 21e siècle ne sont une finalité en soi. Elles doivent s’intégrer à un programme pédagogique avec ses objectifs spécifiques. Ces compétences induisent une autre manière de procéder la #formation.

Repéré depuis Le blog de Jean-François Fiorina » Blog Archive » Quelles compétences pour le 21ème siècle ? To know or to know how ?

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