Mieux vaut prévenir que guérir, surtout si le mal s’annonce profond. Le bureau du Comité paritaire interprofessionnel national pour l’emploi et la #formation (Copanef) s’est réuni mardi, comme il le fait toutes les deux semaines. Rien de plus normal pour cette instance, haut lieu de la gouvernance des partenaires sociaux dans ces domaines nés de la réforme de 2014. A cela près que l’ordre du jour comprenait un point singulier : lancer une étude visant à évaluer la gestion par le patronat et les syndicats des 6,8 milliards d’euros collectés chaque année auprès des entreprises pour la formation de leurs employés.

Avec le projet de reprise en main de l’assurance-chômage par l’Etat porté par Emmanuel Macron, la remise en cause du paritarisme est en haut de l’affiche. La prochaine…

 

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