Les sont dotés aujourd’hui d’un tracking et d’un des plus efficaces qui permettent d’assurer un suivi, une relance, un tutorat et des courbes de progression visant à s’assurer de l’engagement des apprenants sur toute la durée de la #formation.
 L’utilité du tracking ne se limite pas à l’apprenant. Il permet aussi de donner des informations précieuses aux pédagogues qui pourront ainsi faire évoluer leurs formations. Un temps de réalisation d’un QCM trop long peut amener à s’interroger sur la formulation de la consigne et sur sa cohérence par rapport aux ressources proposées en amont. De la même manière, un module réalisé partiellement est un indicateur intéressant : est-il trop complexe, pas assez varié, trop académique, non interactif, les SCO (Sharable content object) sont-ils inadaptés ? Comment peut-on le faire évoluer ? Reconsidérer sa position dans le séquençage, analyser le grain pédagogique en lui-même, changer d’approche didactique,… ? Toutes ces questions sont inévitables et permettent de garantir les corrections et la réussite d’une formation à distance.
Se limiter à un lissage des résultats ou passer par une complémentaire ? Ceci n’est pas si simple et si certification il y a, autant s’assurer que les acquis sont bien là ! Le concepteur devra alors intégrer dans sa scénarisation la remontée des données chiffrées comme autant de rouages permettant de valider ou non un module.

Au delà des données chiffrées, il y a la production de chaque apprenant. Ne pas oublier les autres traces que laisse l’apprenant dans un parcours. C’est que permet la nouvelle norme

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