Avec l’entrée du #numérique dans la sphère de l’entreprise et le succès du #digital learning, le développement des compétences internes par la #formation apparaît comme l’un des enjeux clé du moment : appropriation des nouveaux outils numériques, marché du travail tendu, pénurie de certains profils, besoin constant d’évolution des expertises pour répondre aux mutations du marché et à la concurrence… toutes les conditions semblent réunies pour pousser les entreprises à intégrer un écosystème d’#apprentissage numérique. Avec la promesse d’une meilleure efficacité, de nouvelles dynamiques transverses, d’approches pédagogiques plus performantes, plus corrélées à la réalité opérationnelle… et tout cela pour un coût moins important qu’une formation présentielle classique !
Des théoriciens comme Kirkpatrick et J. Philips ont bien proposé des approches et défini des éléments métriques d’évaluation d’une formation puis de calcul du ROI, mais dans la pratique, ce type d’exercice s’est toujours révélé complexe à mettre en œuvre.
Certains LMS (Learning Managment System) intègrent désormais des outils permettant d’évaluer les performances des apprenants mais aussi de leurs tuteurs dans le cadre de leur apprentissage #digital. La démarche est donc simplifiée par les outils numériques même s’ils ne permettent pas encore la mesure du ROI, mais plutôt celle du ROE (return on expectations) avec un certains nombres de critères quantitatifs (nombre d’inscrits, fréquence de connexion, performances aux tests, taux de certification…) et qualitatifs (échanges entre apprenants, évaluation de l’accompagnant, retours d’expérience…).