En pleine transformation #numérique, la #formation est devenue de plus en plus mobile, distancielle et asynchrone, notamment pour répondre aux nouvelles attentes des entreprises et de leurs salariés. Coûts réduits, plus grande flexibilité, meilleure accessibilité, plus grand éventail de choix… si les avantages du #digital learning sont nombreux, certaines problématiques persistent, notamment autour de l’engagement des apprenants et de la complétude des parcours d’#apprentissage numérique. Les classes virtuelles constituent une piste intéressante pour y répondre : elles permettent de rompre l’isolement de l’étudiant en créant de « la présence à distance »
[1]. Focus sur cette modalité singulière qui se généralise dans les parcours de formation.

Qu’est-ce qu’une #classe virtuelle ?

L’appellation classe virtuelle peut sembler paradoxale : alors qu’elle fait référence à l’univers de l’école, elle est d’avantage utilisée dans le domaine de la formation professionnelle que dans le monde éducatif !

Wallet[4] propose de distinguer 3 modalités qui font appel à la TCAO selon leur objectif :

  • La réunion virtuelle ou visioconférence qui permet de débattre, d’échanger et de transmettre des informations relatives au travail au sein d’une équipe.
  • Le séminaire virtuel ou webinaire qui favorise la communication d’un groupe sur un sujet commun.
  • La classe virtuelle qui permet de mettre en œuvre, à distance et sur une durée définie, des séquences d’apprentissage synchrones avec un groupe d’apprenant. Simulation de la « classe réelle », la classe virtuelle trouve ses sources dans la théorie socio-constructiviste de l’apprentissage et met l’accent sur l’importance des interactions et échanges entre apprenants et avec le pédagogue.

Une solution technique relativement intuitive

Avec plusieurs années d’existence, l’#outil classe virtuelle s’est considérablement simplifié et fluidifié. Sa prise en main et son utilisation par pédagogues et apprenants ne demande pas de temps de formation trop long et ses fonctionnalités sont plutôt intuitives. Avec les progrès technologiques, les problématiques techniques se sont progressivement estompées (internet haut débit, terminaux plus puissants, etc.) et l’expérience utilisateur a également évolué.

Repéré depuis Classe virtuelle : une solution crédible pour maintenir l’engagement et la motivation des apprenants ? – le blog de Solerni – plateforme de MOOCs
Ainsi, si la maîtrise technique de la classe virtuelle n’est généralement pas problématique pour les pédagogues et les apprenants, son effet bénéfique sur les apprentissages est en revanche extrêmement dépendante de la manière dont celle-ci est organisée et animée par le #formateur.

 

Partagez cet article