1. OPTIMISER SON TEMPS
Il vous faudra dans un premier temps déterminer une #méthode, une organisation ; poser, dès le départ, un parcours en plusieurs étapes. Outre l’idée de définir des repères clairs pour évaluer l’avancement de votre projet vidéo, cela optimisera votre temps et vous permettra de dédier un temps imparti à chaque phase.
2. HABILLER L’IMAGE AVEC DU SON
Lorsque le contexte le justifie, il est préférable d’insérer de la voix dans une vidéo, plutôt que d’intégrer des pavés de texte imbuvables.
3. FAIRE PREUVE DE SIMPLICITÉ
Une fois les sons intégrés, on passe à l’animation des différents éléments/assets, placés en amont dans l’#outil vidéo, qu’il suffit désormais de caler sur la voix, la musique et les bruitages.
4. VIVIFIER LES PERSONNAGES
Pour ce qui concerne les vidéos de mises en situation, il est préférable de varier un maximum l’animation des personnages d’une slide à l’autre, de sorte à imiter le vivant. Conférez-leur des émotions et des actions en fonction du contexte et quand la possibilité vous est offerte, jouez sur les nuances d’une même émotion.
5. LE SOUCIS DU DÉTAIL
Votre vidéo semble maintenant terminée mais vous constatez de-ci de-là, un léger décalage entre deux éléments d’une slide à l’autre, entre la voix et les textes, entre la musique et les slides/plans, un personnage non-centré… et tant d’autres broutilles encore.
Youtube, Netflix, Amazon Prime… Décidément, rien ne semble capable de stopper la marche effrénée des plateformes de streaming. Force est de constater que cette hégémonie de la vidéo nous impacte toutes et tous, aussi bien dans nos vies personnelles que professionnelles. Le secteur de la #formation ne fait par ailleurs pas défaut et lui avait même emboîté le pas, il y a quelques années déjà, depuis l’effervescence suscitée par les #MOOC et leurs semblables.