Dans certaines entreprises, le modèle est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ?

Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ?

Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Le savoir devient hautement périssable. Le temps de développement d’une solution formelle de #formation est souvent trop long au regard de cette accélération : telle la cavalerie, la formation arrive souvent trop tard.

Une étude de Bersin, en 2009, indiquait que « 78% des chefs d’entreprise estiment que le taux de renouvellement et la rapidité de circulation de l’information pose un défi de formation majeure à leur organisation ».

Robert Kelley, de Carnegie Mellon, a demandé à des « travailleurs du savoir » (knowledge workers) « Quel pourcentage des connaissances dont vous avez besoin pour faire votre travail est emmagasiné dans votre cerveau ? ».

  • En 1986, la réponse est de 75%
  • En 1997, 18%
  • En 2006, 9%

Et aujourd’hui, où en sommes-nous ? Sûrement moins encore.

Repéré depuis Apprentissages informels : quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles ? | Le blog de la Formation professionnelle et continue

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