Il n’y a pas de questions plus récurrentes (et plus lassante, il faut bien le dire) que celle de l’introduction des nouvelles technologies au sein de l’école. Quel peut être leur apport, et surtout, leur valeur pédagogique ?

La pour comprendre les systèmes complexes.

L’immersion semble aussi particulièrement efficace lorsqu’il s’agit de donner un contenu émotionnel, voire “moral” à un enseignement. Cela aussi joue sans doute un rôle dans le choix privilégié de l’écologie.
Le paradigme du Lego.
Minecraft, n’est rien d’autre,on l’a vu, qu’une forme de Lego “virtuelle”. Rappelons d’ailleurs que la version Mindstorms du jeu suédois a été élaborée d’après une idée de Mitchel Resnick du “Lifelong Kindergarden” au MIT, un labo du Medialab consacré à l’éducation (également à l’origine de Scratch, dont l’interface est d’ailleurs très proche d’un jeu de Lego). Le Monde nous apprend du reste que le Lego va bientôt faire son apparition dans les programmes de la prestigieuse université de Cambridge.
Imprimer ses idées ?
’autres technologies peuvent se révéler utiles pour l’#éducation. Le site Singularity Hub, par exemple, se penche sur l’impact que pourrait avoir l’impression 3D sur la salle de classe, se demandant s’il est maintenant possible de “rendre les idées tangibles“. L’avantage, cette fois, ne serait pas tant du côté de l’élève que de celui du prof ou de l’institution.
Repéré depuis Apprendre à apprendre (4/4) : y’a-t-il des technologies pour apprendre à apprendre ? « InternetActu.net

L’apport de ces futures technologies sera peut-être donc, avant tout, de rendre la connaissance concrète et de faire en sorte que des formes de pensée jusqu’ici purement abstraites puissent, enfin, être littéralement “touchées du doigt”.

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