En réutilisant et en adaptant intelligemment le matériel pédagogique existant, les organisations peuvent maximiser leur investissement dans la formation tout en répondant efficacement aux enjeux émergeants (évolution du marché du travail, mise à jour des objectifs business, etc.). Cette approche permet également d’assurer la pertinence et la durabilité des programmes de formation, tout en favorisant une utilisation efficace des ressources disponibles.

Etape 1 : Commencer par la centralisation des ressources.

Une première étape consiste souvent à rassembler et à répertorier les ressources existantes. Elle démarre généralement à petite échelle, avec une formation prioritaire ou un prototype sur un périmètre restreint. Les ressources peuvent être diverses : documents écrits, présentations, vidéos, simulations, exercices interactifs, applications logicielles, questionnaires, contenus e-learning existants, etc. Il est essentiel de ne pas négliger les ressources existantes qui ne sont pas encore considérées comme des ressources de formation, ainsi que les collaborateurs « ressources » qui peuvent transmettre des connaissances ou créer des documents utiles.

Etape 2 : Donner une seconde vie aux ressources existantes.

Dans leur cycle de vie, les ressources de formation sont pensées, créées, utilisées, parfois réutilisées, puis finissent par perdre de leur pertinence au fil du temps. Pour éviter l’abandon de ces ressources et tirer meilleure partie de l’investissement de départ, il est crucial de les entretenir et de les valoriser. Voici des pistes pour y parvenir :

  • Optimiser l’accès
  • Améliorer l’utilisation
  • Éviter l’obsolescence de vos ressources
  • Personnaliser l’expérience de formation
  • Réutiliser de manière créative

Etape 3 : Créer des ressources plus durables dès le départ

Utilisation des principes agiles pour une conception flexible :

  • Définir le minimum viable.
  • Prototyper et tester.
  • Évaluer et améliorer.

Des critères importants pour le choix du format :

  • Compétences techniques et souveraineté des contenus.
  • Efficacité pédagogique.
  • Stabilité du contenu.
  • Adaptabilité du contenu.
  • Accessibilité et utilisabilité de la ressource.
  • Économie de moyens.
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