Savoir, savoir-être, savoir-faire
Dans la catégorie « savoir », il est question de répertorier toutes les connaissances que l’on a acquises, que ce soit lors de notre #formation initiale ou en tant que membre d’une entreprise.
Le « savoir-faire » vise davantage ce qui est technique, comme la maîtrise d’un progiciel, alors que le « savoir-être » rassemble nos qualités comportementales : courtoisie, maîtrise de ses émotions, bon relationnel, capacité à travailler en équipe. L’ensemble de ces compétences étant précisément ce qu’il est question d’observer lors d’un recrutement.
Le faire-savoir émerge d’un changement profond de paradigme
Il y a une trentaine d’années, un changement de paradigme s’est opéré au sein des entreprises occidentales. S’il était avant question de valoriser l’employé loyal qui exécute à la perfection les tâches qui lui sont demandées sans jamais sortir du rang, c’est désormais un intrapreneur proactif et force de proposition que l’on va rechercher.
Les rendez-vous formels
Certains rendez-vous formels dans l’entreprise peuvent être l’occasion de pratiquer le faire-savoir. L’entretien annuel paraît en être le meilleur exemple, c’est pourquoi il importe de bien préparer ce moment de tête-à-tête avec son supérieur hiérarchique.
Le faire-savoir pour tous les postes ?
Nous pourrions penser, a priori, que plus un collaborateur occupe un poste à responsabilité, plus il est aisé pour lui de faire montre d’initiative et, de fait, de pratiquer le faire-savoir.
Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue que ce sont les employés directement en contact avec les clients qui reçoivent sans cesse leurs retours, et qui sont, par conséquent, les plus à même de proposer des axes d’amélioration.