Nous sommes dans un contexte où le #digital va si vite qu’une information à la une un jour, ne le saura certainement plus le lendemain. Une viralité qui touche aussi le coeur de l’entreprise à tous les niveaux. Pour maintenir sa croissance, une organisation doit désormais s’adapter en permanence aux nouvelles pratiques ou tendances en matière de méthodes de travail, de management ou de compétences. Un enjeu de taille puisqu’elle peut à tout moment être dépassée (technologiquement et économiquement) par la concurrence. Les cadres dirigeants doivent donc être pleinement initiés à ces changements grâce notamment au « reverse mentoring ».

Qu’est-ce que le “reverse mentoring” ?

Avant tout, le « mentoring » (ou mentorat) est un procédé interne permettant à un collaborateur expert dans un domaine, de transmettre son expertise à un de ces pairs, dont les connaissances ou les compétences sont manquantes sur le sujet. Généralement, ce sont des collaborateurs « seniors » et matures du fait de leur expérience, qui accompagnent de nouvelles recrues dans le cheminement de leur carrière dans l’entreprise. Et donc le « reverse mentoring » (ou mentorat inversé) désigne des « juniors » qui vont partager ou actualiser certaines connaissances auprès des « séniors ».

Réussir son projet de “reverse mentoring”

Comme tout type de projet, il existe des conditions à respecter pour assurer sa réussite. La première, c’est évidemment sonencadrement. Vous devez définir en amont les objectifs et établir les rouages de cette démarche (périmètre d’actions, choix des outils, niveau autonomie et de prise d’initiative…).

Les avantages du “reverse mentoring”

Faire grandir son organisation, en bousculant les acquis et en faisant évoluer les points de vues, c’est forcément un acte positif. La mise en place d’un programme de « reverse mentoring » apporte de nombreux avantages notamment pour le mentor, le mentoré et l’entreprise en elle-même.

Repéré depuis Reverse mentoring : un porte-parole de la transformation digitale

Le « reverse mentoring » est un bel exemple d’#apprentissage par les pairs, basé sur l’échange, l’entraide et la mutualisation des connaissances. Il peut s’avérer extrêmement efficace pour accélérer la transition digitale des entreprises, à condition bien sûr qu’il soit préparé avec soin en amont. L’apprentissage à l’ère du digital ne possède plus de critères générationnels ni de positionnements hiérarchiques, il se partage, se co-construit et se diffuse à tous les acteurs de l’entreprise.

Partagez cet article