Le #appsmashing contribue à préparer les élèves au nouveau monde du travail et est considéré par certains comme une nouvelle “compétence culturelle” (digital literacy)
[Joyce Valenza]. Il permet, dans le cadre d’un changement de paradigme, de “sortir” du monde éducatif du 20e siècle.
Le appsmashing a le vent en poupe
Les pionniers du genre, des spécialistes du #numérique pédagogique venant de Boston dans le Massachusetts, ont développé ce concept cohérent et le propagent avec un succès fou (à l’aide de tout un réseau de succursales qu’ils ont fondées dans toutes les grandes métropoles nord américaines) à l’occasion de formations professionnelles, de congrès, de « fêtes d’#apprentissage » (« learnfest »), de discours, de conférences en ligne ou de diverses offres de consultation.
Les membres de cette “usine à penser” (“thinktank”) qui s’appelle “Ed Tech Teacher” ont forgé le terme “appsmashing” pour leur offre de #formation. Il circule depuis dans les milieux spécialisés.
La #méthode est relativement inconnue en Europe, même si le terme apparaît de plus en plus souvent dans la littérature spécialisée. En janvier 2015, le terme ne faisait toujours pas partie de l’édition anglophone du Wikipédia.
Toujours est-il que les résultats de recherche sur Google se multiplient, ainsi que les tweets effectués avec le mot-diese appsmashing, les tableaux Pinterest, les blogpost et les didacticiels sur YouTube (voir ma sitographie thématique accompagnante sur https://appsmashing.de)
Comme une vague énorme, le appsmashing est en train de traverser l’Atlantique !