La facilitation pourrait se définir comme “L’action de rendre simple”.

Avec la démultiplication et le renouvellement de communauté d’ de toutes les sortes (groupe de co-développement professionnel, groupe d’échanges de pratiques, groupes de pairs, communautés en ligne, grands groupes en convention etc.) il est aujourd’hui évoqué le terme de qui se substituerait ou viendrait en alternative de l’animation, du coaching, ou encore de la conduite de réunion. Une nouvelle approche relationnelle permettant de se transformer tout en transformant le monde, de se centrer sur ce qui émerge au sein d’un groupe plutôt que sur un contenu prédéfini s’invente ou plutôt se formalise aujourd’hui. L’approche se veut plus organique, proche des rythmes du vivant, à l’écoute de ce qui vient, tendue vers un potentiel de transformation du monde. La facilitation comprend un mélange de techniques telles que l’accueil de la différence, le flou, le complexe ou encore, l’incertitude. Elle invite à gérer ou faire avec les problèmes de pouvoir, d’antagonisme. Elle comporte une part de postures engagées dans des relations qui se veulent nourricières et bienveillantes, elle est adaptée à un moment de transformation, du monde dont personne ne sait précisément comment il va advenir.
Des formations de facilitation se mettraient même en place afin de promouvoir des postures et des formes d’engagement qui dépasse la régulation au sein d’un groupe et favorise l’engagement dans la la citée (voir en exemple la #formation de facilitacteur)

 

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