C’EST EN TOUT CAS LE POINT DE VUE DE STANISLAS MOREL, MAÎTRE DE CONFÉRENCES À L’UNIVERSITÉ DE ST ETIENNE ET QUI PARTICIPAIT À UNE TABLE RONDE À EDUCATICE SUR LE SUJET « NEUROSCIENCES EN ÉDUCATION : CE QUE LA SCIENCE PEUT APPORTER AU MONDE ÉDUCATIF ? », AVEC UNE VISION QUELQUE PEU DIFFÉRENTE.

Les recherches de Stanislas Morel se situent dans le domaine de l’histoire et de la sociologie de l’éducation ; il s’est également largement intéressé à l’échec scolaire et a présenté sa thèse en 2010,”L’échec scolaire en France (1960-2010). Sociologie d’un champ d’intervention professionnelle”, abordant la question de l’échec scolaire en s’inspirant de la sociologie des problèmes sociaux et de la sociologie des professions en lien avec l’éducation au sein de et hors de l’école.

« Le problème, c’est un fonctionnement par mode scientifique. Certains travaux en sciences cognitives sont intéressants (…) mais l’enjeu aujourd’hui est d’arriver à ce que les sciences cognitives ne soient pas hégémoniques« .


Repéré depuis https://www.ludomag.com/2018/12/neurosciences-en-education-et-si-on-melait-sciences-cognitives-et-sciences-sociales/

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