Ces dernières années, les modalités de #formation ont beaucoup évolué, notamment avec le tournant du #e-learning, et depuis peu vers le mobile. Ces évolutions majeures engendrent un grand nombre de données disponibles mais surtout exploitables à des fins pédagogiques. En quoi ces données sont-elles devenues essentielles ?

L’expérience d’#apprentissage, un nouvel enjeu

Il est prouvé que plus les collaborateurs sont motivés et impliqués dans une formation, plus ils sont capables d’en tirer des bénéfices directs. D’où l’enjeu aujourd’hui de concevoir des modules d’apprentissage engageants et adaptés à leurs attentes, à leurs besoins. Mais on ne peut pas rendre une expérience unique sans connaître et récolter les préférences, les habitudes ou encore les difficultés des apprenants. Nous avons besoin d’un certain nombre de données pour parvenir à de tels résultats. L’idée n’est pas d’espionner vos (futurs) utilisateurs individuellement mais de mettre en place des dispositifs techniques pour faire remonter toutes les informations dont vous avez besoin pour personnaliser vos parcours de formation selon les compétences visées, le métier ou encore les exigences d’un secteur d’activité.

A quoi servent les Learning Analytics ?

Tout d’abord, les « Learning analytics » correspondent à toutes ces données qui englobent l’activité d’apprentissage des utilisateurs. Epinglons ainsi : le nombre de modules (ouverts, entamés, abandonnés), le temps passé, la durée de connexion, les réponses aux tests… En bref, c’est une indication sur l’évolution de l’apprenant au sein de son environnement d’apprentissage.

Le recours à des normes pour la lecture des données

En soi, une « norme » est une liaison indispensable pour communiquer entre le logiciel du fournisseur e-learning et les modules utilisés par les apprenants. Cela suppose évidemment que d’une part, les modules de formation soient paramétrés et conçus pour être « communiquants », et d’autre part, que la plateforme LMS soit compatible avec cette norme. Grâce à cette synergie, il est possible de structurer les données et de les faire remonter sur un tableau de bord. C’est aussi un mode de lecture « commun » et surtout identique à chaque prestataire, pour s’assurer que le logiciel et les contenus communiquent bien entre eux. Ainsi, grâce au respect des recommandations techniques imposées par la norme, peu importe le prestataire que vous choisirez, cette transmission de données sera opérationnelle.

Repéré depuis Les données au service de l’apprentissage

Le #Digital Learning permet ainsi de générer des données riches et offre les moyens aux services formation d’agir pour améliorer en continu la qualité et l’efficacité des formations qu’ils proposent.

 

 

 

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