Le terme de «communauté de pratique» a été popularisé par les chercheurs Lave et Wenger au début des années 90; il regroupe plusieurs finalités et initiatives d’origines et d’intention variées. Il est possible de distinguer des communautés spontanées, des communautés mixant acteur interne et externes et enfin des communautés strictement internes aux organisations. Toutes ces communautés permettent de partager et d’apprendre.

Les communautés spontanées

Il s’agit de communauté se regroupant spontanément à partir de leurs centres d’intérêts sur les réseaux sociaux pour résoudre des problèmes spécifiques

Les communautés mixant interne et externe aux entreprises

Ce type de communauté rassemble des utilisateurs ou fans de la même marque, à l’initiative de celle-ci par exemple, les communautés de Google+ ou Apple dans une visée de création d’applications pour enrichir l’environnement de la marque. Il s’agit ici de partager un même univers informatique et de le faire grandir. La passion commune et les besoins d’application qui s’expriment trouvent le soutien des marques qui favorisent l’expression des besoins et des créations utilisateurs.

Les communautés internes aux entreprises

Les entreprises disposent de moyens pour soutenir des communautés de professionnels encouragées par des organisations pour le partage de connaissance

Selon les circonstances, l’apprentissage est un effet recherché ou dérivé de la communauté. Il semble bien que leurs avantages soient maintenant bien démontrés et de mieux en mieux intégrés.

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