Pourquoi évaluer ?
Le 1er point sur lequel s’interroger, et ce pour toutes évaluations, est pourquoi évaluer ? Quels sont les objectifs de l’évaluation ? Et que va-t-on faire des résultats d’évaluation ? Comment va-t-on les analyser ?
Se concentrer sur l’apprenant
Le 2ème point auquel il faut prêter attention est le répondant en tant que tel, soit l’apprenant. Attention à ne questionner l’apprenant que ce sur quoi il est capable de se prononcer. Est-il de son ressort de juger si les modalités du parcours de formation étaient adaptées ? L’apprenant est là pour vivre une expérience d’#apprentissage, pas pour faire un retour sur les modalités de formation. Cet aspect tient bien plus du rôle du responsable pédagogique.
Le syndrome de la « survey fatigue »
Ensuite, il faut prendre en compte la « survey fatigue » de la part de l’apprenant : « trop de questionnaires tuent le questionnaire ! ».
En effet, la règle à suivre est de n’envoyer aucun questionnaire tant qu’il n’y a pas d’interruption de formation. C’est-à-dire aucun questionnaire tant que le stagiaire ne revient pas à son poste de travail
Des questionnaires d’évaluation oui, mais pas que…
Enfin, il faut constamment garder à l’esprit que l’évaluation ne passe pas toujours et forcément par des questionnaires (et, comme nous le disions plus haut, trop de questionnaires…). Le #formateur lui-même, lorsqu’il anime, fait de l’évaluation en réalisant de petits quiz
Ces dernières années, une nouvelle approche de la #formation constituée de parcours multimodaux voit le jour. Ces parcours favorisent l’alternance de présentiel et de distanciel (modules de #e-learning, e-formation, blended formation, web conférences…). Ils alternent des approches synchrones (modalité d’échange d’informations en direct) et asynchrones (modalité d’échange d’informations en différé), des moments individuels et collectifs.