Depuis leur arrivée sur le marché de la formation au début des années 2010, les MOOC attisent la curiosité des professionnels de la formation. Ce format pédagogique, à qui le marché a d’emblée prêté beaucoup d’avantages, fait toutefois l’objet de beaucoup d’idées reçues. Démêlons le vrai du faux !

Le taux de complétion des MOOC est faible

Vrai et faux ! En moyenne, le taux de complétion des MOOC est compris entre 4 et 10 %. C’est extrêmement faible. C’est la raison pour laquelle les entreprises s’orientent plutôt vers des « Small Private Online Course » (SPOC).

Les MOOC ne sont pas efficaces

Vrai et faux ! Ce qui est sûr, c’est que les MOOC ne sont pas une solution miraculeuse. “Les MOOC se prêtent bien aux formations de « curiosité », d’ordre vocationnel : lorsqu’un salarié en finance souhaite suivre une formation sur l’histoire du rock n’roll, par exemple”, explique Yannick Petit, fondateur de Unow.

La clé d’un bon MOOC, c’est l’accompagnement

Vrai ! C’est cette dimension qui fait grimper ou non le taux de complétion d’un MOOC ou d’un SPOC. Puisqu’ils sont généralement restreints à une cinquantaine de participants, les SPOC offrent les accompagnements les plus personnalisés.


Repéré depuis https://www.exclusiverh.com/articles/nooc/mooc-et-si-on-demelait-le-vrai-du-faux.htm

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