Les #MOOC sont pris entre une logique d’#éducation formelle – qui vise l’intégration dans les cursus académiques – et celle de l’éducation non-formelle, qui regroupe plusieurs formes. Pour préciser cette tension, je vous propose aujourd’hui de revenir sur des exemples liés à l’éducation formelle et à l’éducation non-formelle, en nous focalisant pour le moment sur la #formation professionnelle.
La logique de l’éducation formelle
Les concepteurs dont le dispositif a vocation à s’articuler avec un système de formation initiale ou continue visent en premier lieu le public de l’éducation formelle. C’est par exemple le cas de cet enseignant de mathématiques, dont le cours est intégré dans un Master d’une université française, et qui a vocation à s’intégrer dans d’autres formations d’universités étrangères.
La logique de l’éducation non formelle
Les deux premières catégories d’éducation non formelle que sont le paraformel et l’éducation populaire sont absentes de notre échantillon. Revenons sur les définitions qu’en donne Carr-Hill.
FORMATION PROFESSIONNELLE
Les concepteurs qui s’inscrivent dans une logique de formation professionnelle ont généralement une idée assez précise du public. Ce concepteur vise par exemple un public de commerciaux professionnels qui souhaiteraient progresser dans leur carrière.