Mieux reconnus aujourd’hui, certains cours en ligne valident des crédits universitaires.
Qu’il s’agisse d’améliorer son anglais, de plonger dans la physique quantique ou de découvrir l’économie collaborative, les cours en ligne – communément désignés par l’acronyme #MOOC, de l’anglais massive online open courses – permettent de se former aux ­domaines les plus divers.

Une reconnaissance peu formalisée

Quelques MOOC permettent d’obtenir des crédits ECTS (système d’équivalence européen). C’est le cas, par exemple, du cours sur la gestion de projet animé par Rémi Bachelet, enseignant-chercheur à l’Ecole centrale de Lille. Une dizaine de masters, à Strasbourg, à l’université Pierre-et-Marie-Curie, à ­Paris, ou Lille-I, ont noué un partenariat avec le MOOC qu’ils ­intègrent dans leur #formation. Une pratique cependant assez rare aujourd’hui.

Au-delà du coût plus élevé qu’à l’université (entre 300 et 400 euros par mois), ces formations professionnalisantes n’entendent pas rivaliser avec les masters dont l’adossement à la ­recherche reste une dimension fondamentale.

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