Le collaborateur souffre du saucissonnage du parcours employé
Deux constats.D’abord chacune de ces phases est la responsabilité d’une personne, d’un département différent et, mais-est-ce une surprise, le niveau de collaboration entre chaque est loin d’être optimal.Ensuite il n’y a pas un vrai leadership d’une personne sur l’ensemble du parcours, ce qui cause un manque de cohérence évident au niveau de l’expérience employé.Les éléments d’un bon onboarding
Un bon onboarding demande, d’abord, de la cohérence. De la promesse formulée au candidat à ce qu’il va vivre au travail en passant par l’onboarding on ne peut pas avoir l’impression de rencontrer 3 entreprises différentes.
Le onboarding : un moment expérientiel essentiel à la marque employeur
Et puis j’ajouterai, idéalement, un moment expérientiel. Un petit quelque chose qui fera que le collaborateur se souviendra toute sa vie de ce moment, qu’il aura presque envie de dire merci et qui, au final, contribuera à la marque employeur de l’entreprise.
Quand les nouvelles recrues de Renault rencontrent Carlos Ghosn
Cette dimension expérentielle de l’onboarding m’amène à rebondir sur une expérience récemment vécue.
Il y a deux dimensions dans l’expérience employé. L’une concerne sa transcription dans la multitude des points de contact existant entre l’entreprise et le collaborateur, la seconde est la cohérence tout au long du parcours employé. Et c’est ce second sujet dont nous allons parler aujourd’hui.