Publié dans : Pédagogie
Articles connexes:
- Outils auteur et UGC : oubliez le marteau !
- Pour impliquer les managers dans la formation des équipes, évitez l’incantation et passez à l’action
- Conception de contenu en digital learning : osez le French KISS
- [ TUTO ] Comment réaliser une interview vidéo avec votre smartphone ?
- Immersive learning : le nouveau « Faire Play »
- Tutorat, comment accroître son efficacité ?
- L’entreprise, des connaissances aux compétences – ruedelaformation.org
- Le secret d’une classe virtuelle réussie : la classe inversée — Le Blog de la formation professionnelle
- L’impact des IA génératives sur la formation
- Le Mobile Learning va-t-il devenir notre idée fixe en formation ?
- Upskilling, reskilling, cross skilling : la compétence comme outil de gestion de crise
- Wooclap un outil « couteau suisse » à la belge pour développer l’intelligence collective dans la classe — Ludomag
L’auto-évaluation rapporte à tout le monde ! Selon les apprenants, elle améliore leur compréhension et leur engagement. De plus, elles augmenteraient le taux de réussite chez les organismes de formation.
Il exisite différents types d’auto-évaluations :
L’auto-évaluation formative : un outil d’amélioration continue
L’auto-évaluation formative permet une évaluation continue. En effet, le formateur donne des feedbacks réguliers à ses apprenants. Ces derniers peuvent corriger leurs erreurs au fur et à mesure que les cours évoluent.
L’auto-évaluation sommative : mesure les acquis et les compétences
Contrairement à la méthode précédente, l’auto-évaluation sommativese fait à la fin d’une formation pour évaluer les compétences acquises. Ainsi, il a une visibilité globale de ses résultats. Il peut ainsi identifier ses domaines de prédilection. Il peut également voir ceux qui requièrent une amélioration.
Auto-évaluation par échelle de Likert : simplicité et efficacité
En général, on utilise cette approche pour évaluer l’appréciation par rapport à l’apprentissage. Mais comment ? Au fait, l’évaluateur propose une affirmation. À son tour, le répondant doit exprimer son accord ou son désaccord sur une échelle donnée.
Auto-évaluation narrative : encourager la réflexion et l’analyse critique
Comme son appellation l’indique, l’apprenant doit rendre une rédaction. Ce travail est l’occasion pour lui de réfléchir sur son expérience d’apprentissage. Il pourra approfondir son attitude durant le parcours.
Auto-évaluation par quizz interactifs : ludique et engageant
Les quizz interactifs permettent de tester les connaissances des apprenants. Ils obtiennent immédiatement les résultats à la fin de l’évaluation. Ainsi, c’est un format très motivant parce que l’évaluation est immédiate.
Auto-évaluation par portfolio : suivre le développement sur le long terme
Dans son portfolio, l’apprenant rassemble des documents sur ses compétences et ses réalisations.
L’auto-évaluation collaborative : apprendre de ses pairs
Dans cette approche, les apprenants s’évaluent mutuellement. Ils interagissent entre eux, encourageant le partage de connaissance. Ainsi, ils partagent leur réflexion et se donnent des feedbacks. En recevant le point de vue des autres, tout le monde peut mieux comprendre les différentes perspectives.