Si la question se pose, c’est que le sujet est plus que d’actualité dans les entreprises : passées les premières vagues de digitalisation qui ont essentiellement mobilisé les plus motivés ou les plus à risque (secteurs ou métiers), il faut maintenant accompagner le gros des troupes, managers et dirigeants compris, vers une transformation qui devient permanente, et qui en est d’autant plus complexe qu’elle ne recouvre pas que des définitions à apprendre : le “#digital” recouvre autant des usages, que des savoir-faire techniques, que des manières de travailler ou de collaborer … c’est véritablement une acculturation qu’il s’agit d’opérer.
Si la question se pose, c’est que le sujet est plus que d’actualité dans les entreprises : passées les premières vagues de digitalisation qui ont essentiellement mobilisé les plus motivés ou les plus à risque (secteurs ou métiers), il faut maintenant accompagner le gros des troupes, managers et dirigeants compris, vers une transformation qui devient permanente, et qui en est d’autant plus complexe qu’elle ne recouvre pas que des définitions à apprendre : le “digital” recouvre autant des usages, que des savoir-faire techniques, que des manières de travailler ou de collaborer … c’est véritablement une acculturation qu’il s’agit d’opérer.

Si c’était un pays ?

Si c’était un pays, tout le monde saurait, expérience oblige, quelles sont les véritables conditions de l’acculturation, par rapport au simple tourisme de passage.
Comment passer de l’un à l’autre ?

Dans la vraie vie, c’est d’abord un changement de point de vue, qui progressivement amène tout le reste : s’acculturer consiste à prendre le point de vue de l’habitant, du local, une vision de l’intérieur, à une échelle quotidienne, ordinaire ; par opposition au point de vue de l’étranger, de l’extérieur vers l’intérieur, qui se situe à une échelle ponctuelle, extra-ordinaire par essence.

Repéré depuis L’acculturation au numérique peut-elle se faire par la formation ? | Viuz
Tous les moyens sont aujourd’hui disponibles pour associer créativité et compétences opérationnelles dans des formations intelligentes et motivantes, si on en confie les clés un peu plus aux “régionaux” de l’étape plutôt qu’à des fonctions transverses peu opérationnelles par nature. Initier à de véritables compétences techniques, comme la programmation par exemple, peut participer de cette acculturation qui ne peut produire de valeur qu’à condition d’y avoir investi autant.

 

 

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