On peut légitimement se demander si le titre d’un tel article n’est pas un peu provocateur. Il fait pourtant écho à une somme d’inquiétudes que j’ai pu sonder auprès des professionnels du secteur de la #formationet notamment des indépendants.

A travers celui-ci je souhaite faire un bilan (très personnel mais vous êtes sur mon blog) de la situation etproposer quelques pistes de réflexion.

 La place de formations spécifiques va naturellement disparaître au profit de formations plus généralistes (les langues, que dis-je l’anglais voire le chinois) proposées par des entreprises de plus gros calibre que les indépendants ne pourront ni concurrencer (sic) ni même prétendre à concurrencer.Bonjour l’originalité et la qualité des formations lorsque celles-ci sont strictement conçues dans un objectif de rentabilité ; on baisse le coût des formateurs, on se retrouve avec des formations vite bâclées. Pourquoi faire des efforts dès lors que nous disposons d’un monopole sur le sujet ?

 Les gouvernements depuis trente ans sont se montrés incapables de réformer le monde des taxis. L’arrivée d’Uber, a conduit dans le mur ce modèle obsolète. Aujourd’hui ces mêmes taxis réclament des soutiens de l’état là ou hier ils voyaient en lui un ennemi réformateur.
Si les organismes de la formations ne sont pas contre cette réforme pour ces bien faits comme un compteur unique par salarié même si celui-ci change d’entreprise.

Une longue réflexion sur l’impact des réformes sur le secteur de la formation et les effets de concentration que cela entraîne…

Repéré depuis La formation professionnelle est-elle morte ? | Xavier Deloffre

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