Lorsque les systèmes de bourse ou de prêt ne sont pas suffisants, quand les petits boulots ne permettent plus de joindre les deux bouts, le #sociofinancement peut être une solution. En France, le coût des études étant largement inférieur à ceux trouvés sur le continent américain, peu de plateformes spécialisées existent. Pourtant, les difficultés sont là et les dettes des jeunes s’accumulent partout dans le monde. Et quand les frais de scolarité augmentent, il est urgent de trouver des solutions, quelles qu’elles soient.
 Appeler à l’aide des particuliers ou des entreprises pour financer son avenir contribue grandement à l’avenir de ces étudiants, mais est-ce vraiment une solution stable ? Quid de l’étudiant qui ne parvient pas à trouver des donateurs ? La démarche peut surprendre mais pour ces étudiants, il ne s’agit pas de mendicité. Une question subsiste : quel retour offrir aux investisseurs pour leur générosité ? Quand il est évident que ceux qui donnent de l’argent à un musicien recevront une place de concert ou un disque,l’étudiant qui aura réussi à boucler sa thèse sur le français en Moldavie devra plutôt compter sur la générosité de donateurs valorisant l’#éducation comme pierre angulaire de l’avenir de l’humanité. Donner sans contre-partie mais plutôt car la cause ou le sujet travaillé par l’étudiant nous intéresse.

Le #crowdfunding va vite atteindre ses limites…. En fait les limites correspondent aux réseaux sociaux des participants. Sans relation, pas de donation.

 

Repéré depuis cursus.edu

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