“Les grandes entreprises de France ont décidé de ne pas faire partie des entreprises qui auront disparu dans moins de 10 ans

[…] Elles n’ont d’autre choix que de se réinventer” déclarait en septembre Pascal Buffard, PDG d’Axa Technology Services et vice-président du Cigref.

Nécessaire, mais un équilibre complexe à trouver

Pour un patron, faire référence au “#digital” tient de plus en plus de l’incontournable, voire de l’exercice de style. C’est bon pour l’image. Et rassure aussi actionnaires et investisseurs comme Facebook avec le nombre d’internautes actifs ? Peut-être. Parler de #numérique ne suffit pas néanmoins.

Le coût de l’échec freine-t-il l’engagement ?

70 % des patrons interrogés “admettent un manque évident de compétences digitales” au sein de leur entreprise. Ils sont de plus 93% à juger “que le perfectionnement des compétences des employés sera essentiel au succès de leur entreprise au cours des trois prochaines années.”

Sans l’Humain, plongeon assuré

La banque a notamment lancé deux ans plus tôt, avec la direction générale, un programme de “reverse mentoring”. En raison du succès, le processus a été industrialisé et s’est orienté vers du “digital mentoring”. Le nom du programme : Adopte un mentor. En un mois, 10% des collaborateurs y ont été intégrés.

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