4 business-modèles + 1 !

Sujet délicat car la perception que nous avons de l’#éducation est de considérer que ce n’est pas une marchandise. Néanmoins, il faut bien que ces ed-techs fonctionnent et assurent leur développement. Sujet délicat également car il n’y a pas encore eu à ma connaissance – en France – d’études approfondies réalisées sur ce sujet.

  • B2B – business to business, d’entreprise à entreprise. C’est par exemple une ed-tech spécialisée dans l’#apprentissage des langues étrangères qui contractualise avec une entreprise. Modèle le plus simple.
  • B2C – business to consommateur. Le client final est l’individu qui achète une prestation. Le bon exemple pourrait être une ed-tech dans le domaine de l’orientation qui vent une prestation à un élève de terminale. C’est moins simple qu’il n’y parait car l’utilisateur final n’est pas forcément le décideur mais ses parents par exemple. Cela suppose pour la ed-tech d’être capable de communiquer sur ces différents publics en sachant que les attentes et les motivations ne sont forcément pas les mêmes et que l’élève subit la pression de ses parents. Se pose également la question de savoir si le décideur est le payeur ou pas.
  • B2P – business to peer. C’est une catégorie que j’ai inventée mais c’est la vente de prestations auprès de pairs. C’est par exemple un prof qui aurait créé une ed-tech de contenu et qui vend ses services à ses collègues C’est le pendant marchand et business du P2P.
  • P2P – peer to peer. Il s’agit d’une ed-tech créée par des étudiants par exemple et qui ne s’adresse qu’à des étudiants. Il y a une finalité, peut-être un service qui est délivré gratuitement

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