Une question que se pose souvent un responsable de #formation est celle de l’adaptation des intervenants au nouveau monde pédagogique #numérique. Les intervenants professionnels comme les intervenants occasionnels sont de plus en plus souvent exposés à la nécessité d’hybrider leurs cours et de faire vivre une part de numérique à distance.

La question de la compétence pédagogico-numérique

Comme toute appréciation des compétences d’un professionnel, la détention d’un diplôme ou d’années d’expérience est une sureté qui rassure le recruteur. Mais des diplômes parfois anciens ou des situations d’usages pédagogiques nouvelles reposent la question des pratiques à maîtriser.

Quels effets d’un mécanisme de reconnaissances : certification ou label ?

Les organismes de formation peuvent entreprendre la création de reconnaissance ou s’appuyer sur des reconnaissances existantes par exemple par le moyen de certification de personnes, de certification de formateurs, ou d’accréditation de coachs (SF Coach, International Coach Federation, EMCC) ou plus simplement de labels internes.

Comment accompagner les nouvelles pratiques préconisées ?

Il ne suffit pas de décréter un label, ou un processus de labélisation d’un #formateur, faut-il encore aider les formateurs professionnels ou occasionnels à développer leurs compétences, par la mise à disposition de support numérique, par l’orientation vers des #MOOC pertinents, par leurs contraintes à prendre en compte, par la prise en considération de leur investissement pour s’engager dans une labélisation.

Ensuite, il faut faire vivre le label, préciser sa durée de vie, assurer un recyclage pour garder le label tous les ans, tous les deux ans ou selon une périodicité définie et puis de valoriser le label pour le rendre attractif.

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