A l’heure actuelle, les entreprises vivent de réelles mutations et doivent s’adapter sans cesse à leur environnement. L’espace pro a vocation à aider les directeurs des fonctions à rester en veille et à anticiper les évolutions futures qui concernent tant les nouvelles méthodes de management, les évolutions des métiers que l’organisation du travail au sein des organisations. Les cadres supérieurs trouveront dans cet espace de nouvelles idées, des méthodes qui marchent et une veille sur les nouveaux outils et solutions à leur disposition. Ils pourront également échanger avec leurs pairs dans un espace sécurisé.
La rapidité croissante d’évolution des process et l’utilisation massive des outils digitaux ont considérablement influés sur les modes d’apprentissage. Le principe du web 2.0 est l’interactivité, chacun peut être « contributeur ». Cette attitude de partage actif a favorisé le développement des apprentissages collaboratifs, qui s’expriment par des communautés d’apprentissages, des réseaux d’échange de pratiques, des réseaux sociaux d’entreprises, des forums … Ainsi les universités d’entreprise d’attachent aujourd’hui à organiser un environnement d’apprentissage valorisant les communautés de pratiques : accès aux experts internes, bibliothèques de bonnes pratiques, espaces de formation et de rencontre …. Réel et virtuel se mêlent pour faciliter l’accès au savoir et la réflexion en commun et les forums, chats, conférences à distance, webinaires, e-learning sont accompagnés de réunions d’échange de pratiques et du suivi d’un manager-coach ou d’un mentor. Cette attitude d’apprentissage par le partage actif de connaissances et d’expériences trouve également un terrain favorable dans les modalités de co-construction et de co-développement.
Repéré depuis www.jobsferic.fr
L’université d’entreprise s’adapte au paradigme de l’apprentissage collaboratif, des réseaux sociaux et des communautés de pratiques. Il convient désormais de s’appuyer sur la multiplication des savoirs et l’accélération de leur obsolescence, sur la transversalité des échanges et la spécificité des expertises métiers et des connaissances. Bref d’embrasser la complexité pour accepter le « risque » de développer l’intelligence collective au sein de l’organisation.