Ce n’est pas moi qui le dis, ce sont des sénateurs… En tout cas ceux qui, avec Jacques-Bernard Magner, au sein de la la mission d’information sur les écoles supérieures du professorat et de l’#éducation ou ÉSPÉ, ont signé un récent #rapport d’information au nom de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Étonnant, non ?
Enfin, ce rapport insiste sur l’importance du développement des dispositifs de #formation en ligne, dont les #mooc ne sont qu’un exemple, mais qui peuvent permettre, même si les parlementaires ne savent pas encore en mesurer tous les avantages, de diversifier et démultiplier l’offre de formation à destination des élèves professeurs, notamment. Sans compter qu’ils sont justement là pour offrir aux étudiants la possibilité des échanges pair à pair évoqués plus haut.Il y a bien longtemps qu’on n’avait pas vu un rapport parlementaire si prometteur, même s’il y a, vous l’aurez compris, beaucoup à faire pour changer. Les freins et les crispations sont encore très nombreux dans ces espaces séculaires de formation des maîtres. Tout a été bâti hier pour que rien ne change, pour perpétuer la tradition, reproduire, génération après génération, les mêmes gestes pédagogiques. Oui, il y aura encore beaucoup à faire…Mais alors beaucoup !
Plus le temps passe, plus les rapports insistent sur l’impact de la culture #numérique sur les formations et sur l’indispensable montée en compétences des formateurs et des professeurs. Michel Guillou prend le recul ironique et nécessaire pour critiquer cette avancée sénatoriale.
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