Capitaliser sur l’or noir des données
Plus que jamais, que ce soit en matière de vie étudiante, d’#apprentissage ou même de gouvernance des établissements, les données “sont partout et utilisées par tous”, pointe Laurent Flory. Le risque, face à cette profusion d’informations, est de “récolter de la donnée pour la donnée”, sans avoir défini d’objectifs clairs. Et de multiplier les sources, chaque laboratoires, école, composante, utilisant ses propres règles et méthodes de récolte.
Veiller à la sécurité des informations
Qui dit données, dit sécurité des données. Cette tendance ressort chaque année à Educause depuis 2016. L’enjeu ? Que les usagers des services numérique intègrent naturellement la dimension “sécurité” dans leurs pratiques. Un sujet qui prend une saveur particulière, en France comme aux États-Unis, en 2018, année de mise en œuvre du RGPD (règlement européen de la protection des données), règlement qui obligera notamment les structures à documenter l’ensemble de leurs traitements de données personnelles.
Le congrès Educause réunit aux États-Unis les acteurs de l’enseignement supérieur pour évoquer les évolutions du secteur en matière de #numérique. Une délégation française s’est rendue à Philadelphie fin 2017. Et livre les tendances à suivre en 2018.