THIERRY DE VULPILLIERES A “QUITTÉ UNE START-UP QUI A RÉUSSI POUR UNE MULTINATIONALE EN DEVENIR.” C’EST AINSI QU’AVEC UN PEU D’HUMOUR, CE PHILOSOPHE QUI A OCCUPÉ PENDANT UNE DOUZAINE D’ANNÉES LES FONCTIONS DE DIRECTEUR DES PARTENARIATS ÉDUCATION CHEZ MICROSOFT FRANCE, EXPLIQUE SON DÉPART DE CE GRAND GROUPE POUR CRÉER UNE START-UP : ÉVIDENCEB.
FAUT IL CRAINDRE LES GAFAM ?
La question de l’influence de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, ces cinq grandes entreprises américaines du Web qui totalisent plus de 3500 milliards de dollars de capitalisation boursière et collectent une masse considérable de données des internautes ou des utilisateurs de leurs produits inquiète les citoyens européens.
« On a raison de les craindre, affirme Thierry de Vulpillieres, car c’est une puissance d’agir ». Mais il n’y a pas selon lui chez ces entreprises une « vision de l’éducation ».
« Ce sont des entreprises qui font de bons produits et qui cherchent à les vendre ».
ÉVIDENCE B , UNE START UP D’AVENIR ?
La start up que dirige Thierry de Vulpillières s’inscrit tout à fait dans la lignée de ces entreprises qui investissent l’adaptive learning.
« Après la massification de l’enseignement on aspire aujourd’hui à revenir à plus d’individualisation. Beaucoup de fonds sont disponibles pour les edtechs qui investissent dans des solutions qui utilisent les sciences cognitives et l’intelligence artificielle ».
…
Repéré depuis https://www.ludomag.com/2018/11/les-sciences-cognitives-et-lintelligence-artificielle-ce-sont-deux-mondes-paralleles/