Quand l’apprentissage est perçu comme un calcul mathématique du temps passé sur la matière enseignée…
Cours intensif de français langue étrangère B1 pour des adultes. Une apprenante me fait part ses objectifs d’#apprentissage linguistiques: atteindre en maximum deux mois la fin du niveau B2 et ainsi postuler dans une grande entreprise locale. La solution : cumuler le maximum d’heures de cours dans la journée afin « d’achever » le plus rapidement possible les deux niveaux linguistiques cités. Petit problème : si l’apprentissage d’une langue étrangère se faisait par le simple calcul mathématique du nombre d’heures nécessaires pour un niveau, sans considération du temps d’acquisition, des compétences personnelles, du travail de répétition et d’assimilation, nous serions légion à maîtriser une multitude de langues !Quand le formateur doit transformer les représentations de l’apprentissage pour aider à apprendre…
Face à cette vision mathématique, irréaliste, osons le mot, absurde, de l’apprentissage, comment réagir en tant que #formateur ? Comment changer les représentations tout en rassurant l’apprenant sur ses propres capacités d’apprentissage ?
Repéré depuis Réapprendre le temps qu’il faut pour apprendre | Thot Cursus