L’ ne fait pas le geste, il l’inspire. Les méthodes agiles ne sont pas magiques, il faut que les intervenants fassent le chemin de leur évolution cognitive-émotionnelle-mimétique. Dit autrement, qu’ils fassent évoluer leurs savoir-faire, savoir-être et savoir copier les autres. S’il existe aujourd’hui des « grenouilles agiles » ce n’est pas par hasard, elles sont le fruit d’une évolution professionnelle, de la maturation d’un environnement, d’un développement socio-psychologique…..
 Les technologies innovantes (et la mondialisation), bousculèrent les places, les startups chamboulèrent les modèles d’autorité, gratouillèrent les rigidités et les positions acquises. Un besoin de souplesse et de réactivité se fit jour, assorti de la prise de conscience de l’absurdité créative du processus existant. Vinrent alors les méthodes agiles. Inspirés par les métiers artistiques, ou fortement créatifs, les informaticiens et leurs clients les plus en pointe, ont trouvé des solutions garantissant en même temps l’innovation et la maîtrise raisonnable des risques, de la qualité et des délais. Les enjeux changeant de nature, l’incertitude régnant sur les marchés, la recherche de plus d’innovation taraude les entreprises. Les méthodes agiles mettent les talents en interactions, proposent des modalités collaboratives dynamisantes, imposent un rythme rapide en privilégiant le court terme. Elles visent le pragmatisme à bon escient, l’exhaustivité ne les intéresse pas.

Petit article sur l’évolution des modèles collaboratifs. Du pourquoi on en est arrivé là. Inspirant parce que les méthodes agiles se diffusent dans toute l’entreprise à l’instar de la projet à son époque.

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