Les neurosciences, et plus particulièrement les neurosciences cognitives, soulèvent un intérêt croissant. Les progrès des connaissances dans ce domaine incitent à se reposer la question de leur application au monde du travail et de l’entreprise. Que peuvent apporter, aujourd’hui, les neurosciences à la fonction #RH ? Peut-on passer des convictions acquises empiriquement par les DRH à la force de la preuve scientifique ?
Apprendre à désapprendre n’est pas, en soi, une idée neuve, mais l’on dispose aujourd’hui des éléments permettant de comprendre, anatomiquement, ce qui se produit pour y parvenir. Ceci permet de restreindre la peur du changement. De fait, une personne qui a peur n’apprend pas, c’est un phénomène chimique (le cortisol, hormone sécrétée par le cortex, provoque la destruction de ramifications neuronales). Se mettre délibérément dans une logique de désapprentissage en sachant ce qu’elle implique permet d’amoindrir la peur tout en gagnant en désir, en motivation. Apprendre à désapprendre permet donc une montée en compétences facilitée, avec une souffrance moindre.
Les neurosciences semblent confirmer ce que de nombreux DRH savent empiriquement : le collectif est un booster de la montée en compétences.
Inventer ensemble, collectivement, transforme le cerveau. Le faire de façon structurée permet de parvenir à un meilleur résultat. Il s’agit d’apprendre dans ses interactions avec l’environnement.
Inventer ensemble, collectivement, transforme le cerveau. Le faire de façon structurée permet de parvenir à un meilleur résultat. Il s’agit d’apprendre dans ses interactions avec l’environnement.
Les découvertes des neurosciences, la montée en puissance de l’organisation en réseau, les usages du #numérique… Tout ces changements nous imposent de revoir nos schémas de pensée, nos représentations… Et de découvrir de nombreux mythes qu’il nous faut déboulonner. Une exploration passionante
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