À l’agenda, ce vendredi, d’un Conseil des ministres exceptionnel, pour cause de tournée présidentielle outre-Atlantique : le projet de loi qui devrait accélérer la modernisation du secteur de la #formation ! Ce texte est une avancée qui va dans le bon sens mais il ne faudrait pas oublier d’y associer les forces innovantes du pays, les acteurs issus du #numérique appliqué à l’#éducation et la formation (la fameuse EdTech) notamment, qui intègrent dans leur modèle les nouveaux comportements du web.
La vraie réforme de notre modèle de formation ne doit pas seulement rendre plus flexible un écosystème régulé mais bien élaborer un nouveau système capable de s’adapter sans cesse. Cette ambition nationale est portée par une impulsion réformatrice souhaitant redistribuer les responsabilités. C’est une avancée qui va dans le bon sens mais il ne faudrait pas oublier d’y associer les forces innovantes du pays, les acteurs issus du numérique appliqué à l’éducation et la formation (la fameuse EdTech) notamment, qui intègrent dans leur modèle les nouveaux comportements du web. Les éléments de la réforme correspondent aux convictions de Coorpacademy depuis 5 ans, notre plateforme ayant été développée pour répondre aux nouveaux usages des utilisateurs. Les nouveaux acteurs de la formation portent en eux cette culture, leur expérience devrait être mise à contribution, notamment pour la conception de l’application prévue par le projet de loi. Cette application pourrait devenir un puissant #outil, à l’instar des plateformes comme TripAdvisor, permettant de sélectionner facilement ses formations mais également qu’elles soient référencées en temps réel. Les plateformes américaines n’ont en revanche pas le monopole de l’expertise, la filière EdTech française, dynamique et compétitive, compte près de 300 start-up de l’éducation et la formation. Elle est en train de s’organiser autour de l’association EdTech France.